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La vertu, une valeur démodée ? Pas pour Martin Gibert, chercheur en éthique de l’intelligence artificielle à l’université de Montréal, qui propose une défense de l’éthique de la vertu (qui s’appuie sur des qualités humaines, comme l’honnêteté ou le courage) appliquée aux algorithmes. Après avoir posé la nécessité d’un questionnement éthique sur ce qu’on appelle des « agents moraux artificiels », il propose une hypothèse radicale : et si, au lieu de chercher à créer des normes morales abstraites pour les encoder, on copiait simplement le comportement moral des meilleurs d’entre nous ? Allons-y voir…
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