Le 19 mai 2020
© Pixabay
Dans un « café mortel » ou Death Cafe. Dans la lignée des cafés philo, le concept, imaginé en 2004 par le sociologue et ethnologue suisse Bernard Crettaz, propose de réunir des inconnus dans un lieu convivial – un bistrot, par exemple – et, tout en partageant un café ou un verre de vin, de parler de ce sujet tabou.
La mort sort ainsi du silence et des seuls champs médical ou religieux. « Dans cette communauté provisoire, on peut tout ou ne rien dire. On ne juge jamais, on pardonne et on ne donne pas le moindre conseil.
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