SUISSE
par David Ramseyer 08 novembre 2018
Les sans-papiers sont souvent employés dans l'économie domestique. (Photo: Frank May)
Sans permis, «on vit toujours dans la crainte; même la sonnerie de la porte fait peur, à cause de la police». Ainsi témoignait une clandestine brésilienne, il y a 18 mois, alors que le Canton présentait son opération Papyrus. Fin 2017, l'Université de Genève a lancé Parchemin: une étude pour déterminer les effets de la régularisation sur les sans-papiers. Avant d’en connaître les résultats, dans quatre ans (cf. encadré), les chercheurs ont fait un état des lieux sur l'état de santé actuel des clandestins: il met en lumière leur détresse psychique.
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