Dans une situation de souffrance psychique, le soignant peut-il se risquer à l’humour sans mettre en péril l’alliance thérapeutique ? Quelles fonctions cette «forme d’esprit» joue-t-elle dans l’interaction avec le patient ? Si l’humour comporte des risques, il permet aussi de détendre l’atmosphère, de surprendre, de réinterpréter, de désamorcer des tensions et peut se révéler un précieux médiateur thérapeutique.
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mercredi 23 mars 2016
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