Quarante postes, ou près de 10% des effectifs des services de santé mentale des Forces armées canadiennes, demeurent vacants près de neuf mois après que le ministère de la Défense nationale eut promis de faire de l'embauche de personnel dans ce domaine une priorité.
Une série de courriels, rendus récemment publics, démontre que l'armée se démenait, avant la présentation du dernier budget fédéral, pour éviter de nouvelles coupes dans sa division médicale alors qu'elle était aux prises avec une vague de suicides chez ses soldats.
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