La société précise à moult reprises qu'il ne s'agit en aucun cas d'un diagnostic mais de l'évaluation des risques par rapport à la moyenne des personnes partageant un génotype semblable. Mais tout de même, l'éventualité de savoir que l'on a 80 % de chances de développer la maladie d'Alzheimer ou de Parkinson peut faire froid dans le dos. Nicolas Enault, un journaliste de FranceTVinfo, a bravé ce risque et a demandé à 23andme, l'une des principales sociétés américaines sur ce marché en vogue (quand les analyses génétiques ne sont possibles en France "que dans un cadre médical précis"), de lui envoyer un descriptif détaillé du contenu de ses gènes.
Comme quelque 300 000 autres clients depuis sa création en 2006, l'entreprise a demandé au journaliste de… cracher dans un tube puis d'envoyer le kit pour analyse en Californie. Un envoi outre-Atlantique qui fait doubler le prix du dépistage (une centaine de dollars initialement, soit environ 76 euros.
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