Publié 09/04/2024 par Marianne Dépelteau
CANADA
Ivanoh Demers, à Montréal, lors des mobilisations étudiantes en 2012. Photo: Olivier Pontbriand
Les conflits à l’étranger et les horreurs qu’ils engendrent sont de plus en plus visibles sur tous nos écrans. Pour certains journalistes, regarder les images de ces affrontements peut représenter un travail à temps plein et un risque pour leur santé mentale.
«Ceux qui ont rapporté les impacts les plus importants avec des histoires de traumatismes étaient des travailleurs des médias qui passaient beaucoup de temps à revoir des images ou des détails dérangeants, notamment les journalistes vidéos, les caméramans, les podcasteurs, les monteurs et libraires vidéos et les recherchistes.»
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