Mercredi, 20/12/2023
Une étude dirigée par la Docteure Lena Brundin de l'Institut Van Andel a permis d'identifier deux éléments pouvant contribuer à l'accroissement du risque suicidaire : l'inflammation du cerveau et la perte de ses mécanismes de protection critiques.
L'équipe a comparé le cerveau de 29 personnes décédées par suicide à celui de 32 adultes emportés par d'autres causes. « Nous nous sommes concentrés sur le cerveau parce que c'est là que résident les processus biologiques qui affectent l'humeur, les idées et l'intention suicidaires, et la prise de décision », précise le Docteur John Mann de l'Université de Columbia qui a également participé à ces travaux.
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