Megan Brooks 8 janvier 2020
Baltimore, Etats-Unis – Avoir eu un animal – à vrai dire un chien – quand on était enfant pourrait protéger contre le développement d’une schizophrénie ultérieurement, selon une nouvelle étude.
Les résultats montrent que les adultes qui possédaient un chien dans leur enfance ont 25% de risque en moins d’être diagnostiqué pour une schizophrénie par la suite. Ce résultat n’est pas retrouvé avec les chats, notent les chercheurs.
Il existe quelques explications plausibles en faveur d’un potentiel effet protecteur du contact avec un chien, a expliqué le Dr Robert Yolken, département de neurovirologie pédiatrique (Johns Hopkins School of Medicine, Baltimore, Maryland) à Medscape Medical News.
« L’une d’elles est que les familles qui possèdent des chiens diffèrent d’une certaine façon de celles qui ont des chats, par exemple sur les endroits où elles vivent et leur niveau de ressources, et ces différences sont cohérentes avec le risque de schizophrénie » dit-il.
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