Vendredi 18 août 2023
Les découvertes de l’étude "Des pedigrees étendus révèlent l’organisation sociale d’une communauté néolithique", par Maïté Rivollat publiée récemment dans la revue "Nature", pourraient bien participer à une évolution de fond des méthodes de l'archéologie, et ce, grâce à la génétique.
Avec
- Maïté Rivollat Post-doctorante en archéo-génétique à l’Université de Gand (Belgique)
- Solène Denis Archéologue
Dans les années 2000, des chercheurs avons retrouvé les restes de 128 personnes sur le site des Noisats à Gurgy, dans l’Yonne. Durant les fouilles, les archéologues, menés par Stéphane Rottier, remarquent que ces tombes ne se chevauchent pas et comprennent qu’elles n’ont, alors, pas été disposées par hasard. En utilisant la recherche génétique, les scientifiques ont pu identifier les liens qui unissaient ces individus.
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