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Fanny Imbert
Manifestation des Accompagnants des élèves en situation de handicap à Paris, en avril 2022. (S?BASTIEN MUYLAERT / MAXPPP)
Les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) descendent une nouvelle fois dans la rue pour réclamer de meilleurs salaires et un statut non-précaire.
Depuis dix ans, Virginie est accompagnante d'élèves en situation de handicap (AESH). Contractuelle, à temps partiel dans deux lycées parisiens, elle touche moins de 900 euros par mois. "Heureusement que je travaille à côté", glisse-t-elle. Cela lui permet d'augmenter ses revenus, car dit-elle, "si je n'avais pas ça, tout mon salaire passerait dans la nourriture".
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