Le contrôleur des lieux de privation de liberté a publié un rapport, mercredi, sur les droits fondamentaux des mineurs, population « particulièrement vulnérable ».
LE MONDE | | Par Justine Beauvais
Confinement et manque d’intimité des patients, absence d’échanges avec les familles, insuffisance de formation des soignants… Tel est le constat livré par le contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) dans son rapport sur les droits fondamentaux des mineurs hospitalisés en psychiatrie, publié mercredi 8 novembre. L’organe de contrôle s’est appuyé sur ses visites menées dans une trentaine d’établissements de soins psychiatriques accueillant des mineurs en France. En 2015, 18 257 mineurs ont été admis en hospitalisation à temps complet.
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