Les Chemins de la philosophie par Adèle Van Reeth
La mort soulève des abîmes de complexité : si la mort n'est rien, pourquoi s'en préoccuper autant ?
• Crédits : Manuel Domínguez Sánchez
Y a-t-il une recette pour accueillir sereinement la mort ? A priori oui, il est possible de muscler son âme par l'exercice, comme on muscle son corps. Il est possible d'annihiler la peur en côtoyant la mort par la pensée. Mais cette recette demande une préparation opiniâtre et quotidienne, et la prescription de Sénèque est formelle : l'exercice de la philosophie est obligatoire.
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