La double explosion du 4 août a donné le coup de grâce au secteur médical et hospitalier qui boitait depuis plusieurs mois déjà du fait de la crise économique et financière et du retard affiché dans le règlement des honoraires des médecins par les assurances et les tiers payants publics auxquels est venue s’ajouter la pandémie du Covid-19, qui a paralysé encore plus le secteur.
Avec quatre hôpitaux durement affectés par les explosions du port de Beyrouth, « de nombreux médecins qui exerçaient dans ces établissements universitaires se sont retrouvés sans travail », déplore le président de l’ordre des médecins, Charaf Abou Charaf.
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