Jocelyne Louvet est visiblement sous le coup de la nouvelle. Il faut dire que la manière a été brutale.
« Avant la semaine qui a précédé l’annonce, on ne savait pas. C’est une surprise. On rencontre régulièrement l’ARS, le conseil régional et rien n’a été dit. C’est très particulier ».
La directrice de l’école d’infirmiers compte bien faire des propositions « avant que ne soit arrêtée l’affectation des quotas », fin novembre.
« Cette fermeture n’est pas compréhensible, cela n’a pas de sens. Les jeunes ont du travail, sont bien formés, sont satisfaits de cette école. Nous avons un potentiel de stages ici : hôpital, Ehpad, clinique, lycées, usines… Cette décision s’appuie sur quoi ? », se demandait-elle le jour de l’annonce de cette fermeture.
Avec le résultat d’un questionnaire à l’appui, elle annonce : « Sur la trentaine d’élèves qui a répondu au questionnaire l’année dernière, tout le monde a du travail ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire