Une étude concernant 156 sujets résidant dans 24 centres de soins australiens montre que le fait d'avoir dû prescrire des antipsychotiques pour contrôler des manifestations comportementales ou psychologiques en cas de démence ne signifie pas que cette prescription doive être maintenue à long terme.
En s'appuyant sur le personnel infirmier pour promouvoir une prise en charge individuelle non pharmacologique, il a été possible d'arrêter les antipsychotiques chez 135 sujets et, un an après l'arrêt, il n'avait pas été nécessaire d'en represcrire dans 3 cas sur 4.
Dr Jean-Claude Lemaire
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