Risque d’accoutumance à la nicotine, prédisposition aux allergies, tendance au dérèglement du métabolisme ou à la dépression… Voilà les conséquences, pour notre santé, des métissages qui ont eu lieu entre l’homme de Neandertal et Homo Sapiens, selon une nouvelle étude publiée dans la revue Science. Voilà qui pourrait ternir à nouveau l’image de cette espèce disparue, qui s’était pourtant beaucoup améliorée ces dernières années. Car Neandertal n’était pas aussi fruste que nous l’avons longtemps cru. Est-ce la raison pour laquelle il a su séduire ses congénères Homo Sapiens (à moins que ce ne soit l’inverse) ? Quoi qu’il en soit, David Quammen en fait un portrait élogieux, en humain sophistiqué et pensant, dans cet article de Harper’s traduit parBooks en janvier 2015.
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mardi 16 février 2016
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