La Polynésie française n'arrive pas, depuis de nombreuses années, à mettre en place un pôle de santé mentale qui réponde réellement aux besoins locaux. Les lits en psychiatrie sont constamment surbookés à 120% de leurs capacités. Une mutualisation des moyens dans le Pacifique francophone pourrait répondre, effectivement, au moins à la problématique des malades difficiles.
Revenant en détail sur les idées force du schéma d'organisation sanitaire (SOS) de la Polynésie française pour les cinq prochaines années, le ministre de la santé Patrick Howell a fait mardi, pendant son passage devant les élus de l'assemblée de Polynésie française, une déclaration de trois minutes qui éclaire sur les projets de développement d'un pôle de santé mentale à Tahiti.
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