Un service du Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies
COLOMBO, 10 septembre 2013 (IRIN) - Les autorités du Sri Lanka n’ont toujours pas pris en compte le traumatisme psychologique subi par les familles des milliers de personnes disparues, même plusieurs décennies après les faits. Elles n’ont toujours pas reconnu l’ampleur de ces disparitions et leurs circonstances, indiquent les activistes et les chercheurs.
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