Google a annoncé avoir mis au point un réseau de neurones capable de prédire les précipitations de manière plus précise et sur des zones géographiques affinées par rapport aux prévisions "dans l'heure" actuelles de l'agence météorologique nationale des Etats-Unis.
Aujourd'hui, ces prévisions sont établies par le biais de simulations, basées sur des relevés au sol et des observations satellite, et sont réalisées par des supercalculateurs. Les mêmes modèles qui servent à prédire la météo au cours des 10 prochains jours sont utilisés pour prévoir la pluie dans l'heure qui vient. Si leur précision a augmenté à mesure que les supercalculateurs devenaient plus puissants, le temps nécessaire au calcul limite le nombre de "rafraîchissements" journaliers du modèle à trois ou quatre, et les données utilisées sont toujours vieilles de plusieurs heures. La précision géographique est par ailleurs limitée à des zones de 5 kilomètres pour des raisons de lourdeur de traitement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire