Un nouvelle étude menée dans quatre pays du monde met en lumière les traitements extrêmement violents que subissent les femmes en plein accouchement, allant des insultes aux violences physiques.
Une nouvelle étude sur les violences obstétricales a été publiée ce mercredi 9 octobre par la revue médicale The Lancet et relayée par le TIME. Menée dans quatre pays en voie de développement, ce travail scientifique tire la sonnette d'alarme sur les traitements infligées aux femmes en plein accouchement, qui vont des insultes aux violences physiques.
Les chercheurs ont analysé la situation de femmes dans quatre pays d'Afrique et d'Asie, faisant partie des économies en voie de développement : le Nigéria, Myanmar, le Ghana et la Guinée. Ils ont observé que la césarienne sans le consentement des femmes est extrêmement courante dans ce pays, tout comme d'autres pratiques beaucoup plus graves comme les mutilations génitales ou les épisiotomies. Ces opérations sont très souvent effectuées sans le consentement des femmes et sans anti-douleurs.
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