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« Le psychiatre et l’assassin » : la société a besoin de coupables
Par Mariétou Bâ VENDREDI 11 OCTOBRE 2019`
On l’appelle communément « l’affaire de Grenoble », en 2008 un malade schizophrène tue en pleine rue un jeune homme, jugé irresponsable de ses actes, c’est son médecin qui est condamné. Peut-on être condamné pour les actes commis par un de ses patients ? Pourquoi a-t-on besoin de désigner un coupable ? Dans son film, Agnès Pizzini, s’interroge sur les relations entre la justice et la psychiatrie, et la place des malades psychiatriques dans une société qui les craint.
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