Danièle Brun
« Un vent léger souffle sur la féminité au long de ces pages.
Il s’agit de la retrouver, délivrée de ses clichés, de ses “on-dit”, au-delà des mises à l’écart dont elle a souffert chez les autrices féministes et chez Freud lui-même.
Nichée à l’intime de soi et des désirs qui nous habitent, la féminité, délivrée de ses attaches exclusives au sexe féminin, retrouve une vie nouvelle à travers la parole et l’écriture, en particulier celle de Marguerite Duras qui la montre à l’œuvre chez ses personnages favoris : des femmes bien sûr mais aussi des hommes. » D. B.
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