Publié le 2 octobre 2021
L'Université de Genève, et plus particulièrement la Fondation Pôle Autisme, étudie un syndrome génétique issu d'une mutation du chromosome 22 pouvant entraîner le développement de maladies psychotiques. Cette microdélétion chromosomique touche une personne sur 4000 environ. Toutefois, seul un tiers d'entre elles seront finalement impactées par un trouble psychique, précise un communiqué de l'UNIGE.
"C'est une information qui est déjà très pertinente, mais qui n'est pas suffisante, c'est-à-dire que nous avons encore une capacité relativement limitée de prévoir quels jeunes vont développer une psychose par la suite", explique le premier auteur de l'étude, Corrado Sandini.
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