Paris, le samedi 8 septembre 2018 – Parmi les sujets qui s’étaient invités dans les débats organisés dans le cadre des états généraux de la bioéthique, la levée de l’anonymat des donneurs de sperme n’a pourtant pas a priori vocation à être inscrite dans le programme du futur projet de loi. S’il est peu probable que le texte s’oriente effectivement vers la fin de l’anonymat, à la lueur des discussions passionnées engendrées par ce sujet, il semble que les réflexions parlementaires sur la question soient inévitables. Peut-être les élus souhaiteront faire leurs les récentes propositions des Centres d’étude et de conservation des œufs et du sperme (CECOS) qui ont suggéré de permettre aux enfants nés grâce à un don de gamète anonyme de pouvoir avoir accès sous certaines conditions à des informations non identifiantes.
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vendredi 7 septembre 2018
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