Une fois n’est pas coutume, le
rédacteur de ce blog que je suis, prend la plume ou plutôt les touches de son
clavier pour vous faire part de ses réflexions. Cette fenêtre d’observation que
me procure la rédaction de ce blog m’offre, j’en ai bien conscience, un
panorama partiel de ce qui s'agite et vibrionne dans le champ des actualités des
sciences humaines et sociales qui nous intéressent.
Ma procédure est des plus simples
puisque je m’aide des outils de veille qui permettent de recevoir, à partir d’occurrences
ou de mots clefs, des données qui résonnent dans l’actualité sur les
thématiques qui retiennent notre intérêt. Ce sont des articles de presse, des publications
et des informations venant de différents canaux, des plus classiques aux plus
inattendus. Les robots ne font pas tout et je m’autorise à explorer des plateformes
spécialisées, des revues en ligne, les news letter de maisons d’édition, etc.
Tout cela, et je l’assume, donnant une tambouille hétéroclite et peu ordonnée.
Au final, je me plais à penser que cette vitrine est révélatrice de ce qui s’exprime
dans une période donnée.
Pour autant, je suis en manque !
Certain(e)s d’entre vous – et je
les en remercie - me font parvenir des informations sur la parution de livres, d’essais,
d’articles, etc. sur l’actualité de débats, colloques, journées d’études,
forums, séminaires, etc.
Quel est ce manque dont je parle ?
Cette veille, sans doute insuffisante, ces robots de recherche, sans doute
fatigués et pas assez équipés d’apprentissage profond, le fameux « deep
learning » qui nous promet monts et merveilles, ne me font remonter que
peu de données, par exemple dans le champ de la psychanalyse, de la pratique
clinique, de la psychothérapie institutionnelle, etc. Il se peut que cela soit
représentatif d’un moment de latence et de baisse de régime, comme cela se
produit par périodes dans tous les domaines de la production des idées. Il se
peut aussi que cela relève d’un trouble de la perception lié à la faiblesse de
mes antennes et de mes écrans radar.
C’est pourquoi je suis preneur, ô
combien, de tout ce que vous pourriez me faire parvenir, dans la mesure de
votre possible.
Très, très cordialement.
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Gill Sgambato
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