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Image d'illustration de l'hôpital de jour la Cense à Frelinghien. • © Capture d'écran Google Maps
L’hôpital de jour de la Cense, installé dans la campagne de Frelinghien, devrait être relocalisé au sein de l’établissement public de santé mentale d’Armentières d’ici deux ans. Une décision qui effraie les patients actuellement pris en charge. Une pétition a été lancée.
C’est un endroit paisible, situé en plein cœur des champs de Frelinghien, non loin de Lille. A première vue, cette ferme ressemble à toutes les autres installées dans le secteur. Mais les murs de cette vieille bâtisse abritent un établissement hors norme : un hôpital de jour directement rattaché à l’EPSM Lille Métropole, l’établissement public de santé mentale.
Ouvert en 1993, il accueille une vingtaine de patients par jour dans un cadre bucolique, loin du stress de la ville. "C’est une ferme tout à fait extraordinaire, il n’y en a aucune autre dans le secteur", explique Michel Pacaux, maire de la ville de 1971 à 2020. C’est lui qui, à l’époque, a œuvré corps et âme pour ouvrir ce lieu. "Il y a un étang de pêche, un potager, une grande cuisine. Les malades s’occupent des nombreux animaux. Beaucoup de personnes se sont rétablies dans cet établissement ouvert".
L’hôpital de jour de la Cense, installé dans la campagne de Frelinghien, devrait être relocalisé au sein de l’établissement public de santé mentale d’Armentières d’ici deux ans. Une décision qui effraie les patients actuellement pris en charge. Une pétition a été lancée.
C’est un endroit paisible, situé en plein cœur des champs de Frelinghien, non loin de Lille. A première vue, cette ferme ressemble à toutes les autres installées dans le secteur. Mais les murs de cette vieille bâtisse abritent un établissement hors norme : un hôpital de jour directement rattaché à l’EPSM Lille Métropole, l’établissement public de santé mentale.
Ouvert en 1993, il accueille une vingtaine de patients par jour dans un cadre bucolique, loin du stress de la ville. "C’est une ferme tout à fait extraordinaire, il n’y en a aucune autre dans le secteur", explique Michel Pacaux, maire de la ville de 1971 à 2020. C’est lui qui, à l’époque, a œuvré corps et âme pour ouvrir ce lieu. "Il y a un étang de pêche, un potager, une grande cuisine. Les malades s’occupent des nombreux animaux. Beaucoup de personnes se sont rétablies dans cet établissement ouvert".
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