Dix hommes et une femme, détenus à la prison de Fleury-Mérogis, ont mis fin à leurs jours au cours des huit derniers mois. Pour Adeline Hazan, il faut rapidement rendre les lieux de détention plus humains.
INTERVIEW
Onze personnes se sont suicidées à la prison de Fleury-Mérogis depuis le début de l'année. C'est plus que les deux années précédentes. "Malheureusement, cette vague de suicides est la conséquence d'un fléau absolument considérable qui touche les prisons françaises depuis des décennies : la surpopulation carcérale", dénonce Adeline Hazan, contrôleure générale des lieux de privations de liberté, vendredi matin sur Europe 1.
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