Le document de 71 pages trace la route de l’EPSM de 2018 à 2022 en onze thématiques et une cinquantaine d’objectifs précis, définis lors d’ateliers. Présenté en octobre et validé à l’unanimité, il vise en premier lieu à « exercer la psychiatrie au plus près de l’usager ». « Jusque dans les années 50-60, nous avions 2 000 lits à Saint-Venant, pose Christian Burgi, directeur général de l’EPSM. Aujourd’hui, on a environ 300 lits et pour autant, on suit 20 000 patients, car il y a de moins en moins d’hospitalisations et le suivi se fait de plus en plus de manière séquencée. »
« L’idée est qu’à terme, il n’y ait plus qu’un tiers des agents à Saint-Venant. »
D’où les projets de regroupements ou créations de structures afin d’augmenter l’activité de soins et suivi hors les murs de Saint-Venant. « On a un site historique qui est Saint-Venant, où travaillent les deux tiers de nos agents. L’idée est qu’à terme, il n’y ait plus qu’un tiers des agents sur ce site, qui va continuer sa cure d’amaigrissement. On va progressivement fermer des bâtiments, regrouper des unités… »
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