12 janvier 2018
Appel – Les initiateurs d’un appel répondent ici à l’Association internationale pour la psychanalyse relationnelle et la psychothérapie [IARPP], qui tente de justifier sa décision de tenir sa réunion internationale de 2019 en Israël.
Cher Dr. Kuchuck,
J’ai apprécié votre courriel personnel [traduction ci-dessous] en réponse à notre lettre du 27 décembre 2017, laquelle proteste contre la décision d’organiser la conférence IARPP de 2019 en Israël et est conforme aux principes énoncés par votre courriel, à savoir « l’insertion, la protection et la libre expression d’un ensemble de points de vue différents ».
Il était donc déconcertant d’entendre que la liste de diffusion de l’IARPP avait officiellement mis fin à toute discussion sur la controverse qui a suivi la publication initiée dans les 24 heures d’une pétition soutenant cette lettre, période au cours de laquelle la pétition avait déjà été signée par plus de 200 travailleurs de la santé mentale – dont beaucoup sont membres de l’IARPP.
Il était donc déconcertant d’entendre que la liste de diffusion de l’IARPP avait officiellement mis fin à toute discussion sur la controverse qui a suivi la publication initiée dans les 24 heures d’une pétition soutenant cette lettre, période au cours de laquelle la pétition avait déjà été signée par plus de 200 travailleurs de la santé mentale – dont beaucoup sont membres de l’IARPP.
La profonde contradiction entre les engagements déclarés de l’IARPP en faveur d’un échange d’idées ouvert et son projet de tenir la conférence de 2019 en Israël est précisément notre point de vue. Vous déclarez, « nous visons à créer au sein de notre conférence psychanalytique relationnelle un espace ouvert et sûr dans lequel les participants à travers le spectre politique peuvent confronter et échanger des points de vue. » Mais il est clair qu’un tel espace ouvert et sûr ne peut pas être créé par l’IARPP au sein même de l’État d’Israël.
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