"A quelque chose, malheur est bon", dit un dicton populaire. Il en est ainsi de la crise liée au boycott des stages infirmiers par les cliniques qui s'est terminé le 11 mars. Dès le lendemain les ministres de la santé et de l'enseignement supérieur ont envoyé une lettre à la présidente de la FNESI, promettant des avancées concrètes notamment sur l'encadrement et les terrains de stage.
Le ministère des affaires sociales et de la santé et le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche vont mettre en place un "groupe de travail" sur les revendications des étudiants infirmiers, ont annoncé Marisol Touraine et Geneviève Fioraso dans une lettre adressée à la présidente de la Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers (Fnesi).
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