Septembre 1991. Un jeune étudiant de 20 ans de l’Université de Sherbrooke arrive à l’improviste et sans bagage chez ses parents, au Saguenay, après avoir vécu une semaine pour le moins mouvementée. Quel est donc le but de cette visite soudaine en ce début de session, sans s’annoncer ni même apporter une brosse à dents ou quelques vêtements de rechange ?
L’ancien étudiant en question est celui-là même qui signe aujourd’hui cette chronique. De tels scénarios sont fréquents dans nos familles et dans la société en général et l’actualité du jour fait ressortir plus que jamais l’importance de parler collectivement des problèmes liés à la santé mentale. Du 1er au 7 mai, on soulignera une fois de plus la Semaine nationale de la santé mentale qui vise à informer et sensibiliser les intervenants et la population quant aux enjeux relatifs à la santé mentale, tout en démystifiant certains aspects réservés jusque-là à la psychiatrie plus traditionnelle.
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