Caroline Delabroy Publié le 16/11/19
- Les glioblastomes sont les tumeurs cérébrales les plus agressives et les plus fréquentes chez l’adulte.
- Depuis 2005, le traitement reste inchangé et le taux médian de survie est de 14 mois.
- Une chercheuse du CNRS développe à Marseille une approche inédite visant à cibler la tumeur et son micro-environnement, via de petites molécules synthétiques. Explications.
Son projet de recherche sur les tumeurs les plus agressives du cerveau a retenu l’attention de la Fondation ARC. Pendant deux ans, Aurélie Tchoghandjian, chercheuse au CNRS à Marseille, va ainsi pouvoir bénéficier avec son équipe d’un soutien financier de 50.000 euros pour explorer une nouvelle piste de traitement des glioblastomes. Ces tumeurs cérébrales touchent près de 2700 nouvelles personnes chaque année en France. « L’enjeu thérapeutique est majeur, ce sont des cellules que l’on ne peut pas soigner », souligne la chercheuse, qui a consacré sa thèse de neurosciences aux cellules-souches cancéreuses.
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