Après le suicide, le lundi 13 juin, d’un infirmier sur son lieu de travail à l’hôpital Rangueil, trois enquêtes sur quatre sont toujours en cours (médico-judiciaire, inspection du travail, interne).
Celle du CHSCT (Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail), ouverte pour « danger grave et imminent » s’est terminée hier avec des préconisations présentées lors d’un CHSCT exceptionnel. Au premier rang desquelles la reconnaissance de ce suicide comme accident du travail. « Le directeur des ressources humaines était d’accord avec cette demande. Il nous l’a signifié dès le lendemain du drame lors de la commission médicale d’établissement. Le Directeur général l’a confirmé une semaine plus tard, mardi dernier, lorsque nous sommes intervenus au conseil de surveillance », relatait hier Julien Terrié, secrétaire CGT du CHSCT central du CHU de Toulouse.
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