Dans son ouvrage, la directrice de recherche au CNRS dresse le portrait d’une nouvelle génération de migrants instruite et diplômée, loin de l’image misérabiliste souvent véhiculée. Elle dénonce la frilosité du gouvernement et appelle les politiques à réinstaurer le droit de travailler pour les demandeurs d’asile, supprimé en 1991.
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