Dr Christian Lucas 13 mars 2024
La physiopathologie de la migraine a énormément évolué ces dernières années avec notamment la place de la libération du CGRP (Calcitonin gene releated peptid) au pourtour des artères méningées lors d’une crise migraineuse aboutissant à la céphalée. Ceci a permis des avancées thérapeutiques conséquentes avec des molécules ciblant la voie du CGRP tels les anticorps monoclonaux anti-CGRP ou les gépants ou la toxine botulique de type A. Par ailleurs, concernant les anciennes molécules, notamment le topiramate, des signaux alertant sur le risque neurodéveloppemental sont apparus modifiant radicalement les possibilités de prescription.
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