Philippe GAMBERT Publié le
Dans une lettre au procureur de la République, La CGT du CHU de Nantes alerte « sur une situation de mise en danger des patients (mineurs et adultes) et des professionnels en psychiatrie au sein de l’hôpital Saint-Jacques. »
Un soignant dans un couloir de l’hôpital Saint-Jacques.
Photo d’archives. | JÉRÔME FOUQUET/OUEST-FRANCE
C’est une lettre recommandée avec accusé de réception. Elle a été adressée au procureur de la République du tribunal de grande instance de Nantes, avec copie au président de la République, Emmanuel Macron, à plusieurs ministres (entre autres à celui de la Santé), au préfet et au directeur de l’Aagence régionale de santé ainsi qu’à la maire de Nantes. Et alors qu’une grève est en cours en psychiatrie à Saint-Jacques, à l’appel de l’intersyndicale (CGT, FO, Sud santé).
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