Priska Hess Publié jeudi 5 mai 2022
SUISSE
Florence Guignard: «Ce qui me lie à une pensée, c’est ce que j’y trouve. Je ne me sens pas prisonnière d’une école.» — © Dom Smaz pour Le Temps
Elle ne sait pas dire non quand des collègues lui proposent quelque chose qui l’intéresse. Une conférence à Bologne. Une supervision par Zoom pour l’Hôpital de St. Louis dans le Missouri. La préface d’un livre sur la crise écologique. Et ce samedi, un colloque public à l’Université de Lausanne. A 87 ans, elle n’arrête pas. Aimerait-elle leur dire non? «Il est vrai que j’ai moins d’énergie qu’avant. Je dois prendre soin de moi, ce qui demande du temps. J’ai donc de la peine à terminer d’autres choses.»
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