Par Nathalie Barrès 25 févr. 2019
En France, 20 à 25% des salariés ont un travail de nuit ou avec des horaires décalés (TNP). Des analyses ont été réalisées par la Société française de médecine du travail et 8 autres sociétés savantes sous l’égide de la Haute Autorité de Santé (HAS) et ont conduit à des recommandations de bonne pratique1. En 2018, c’était le tour de l’ANSES de donner un avis sur le sujet2. Cet article publié dans la revue Médecine du sommeil a pour objectif de communiquer de nouveau sur les éléments de certitude des risques liés au TNP ainsi que sur les mécanismes physiopathologiques (admis et hypothétiques) sous-jacents.
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