18 juil. 2017
Des études menées sur des cohortes en Australie, Suède, Danemark, États-Unis et en Grande-Bretagne ont indiqué qu’une plus grande capacité cognitive (résumée ici sous le terme intelligence) mesurée selon des tests standards chez l’enfant ou au début de la vie adulte était associée à un moindre risque de mortalité au milieu ainsi qu’à l’extrémité de la vie. Ces données semblent indépendantes de l’environnement socio-économique originel des sujets étudiés et de facteurs propres à la périnatalité. Les résultats de ces études privilégient souvent les cohortes masculines. Il était intéressant d’évaluer le rapport entre intelligence et principales causes de décès à partir d’une cohorte d’individus nés la même année et avec une représentation équivalente entre femmes et hommes.
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