Plusieurs grandes institutions scientifiques nous font jouer pour stimuler notre curiosité… ou aider la médecine.
L’Inserm, le grand institut de recherche médical public français, possède un organoïde de cerveau, une réplication parfaite de l’architecture du cortex humain, totalement fonctionnel. Il sait même verrouiller tout seul les portes de son labo. Seul problème, il est un chouïa sensible aux pannes de courant. L’une d’elles vient temporairement de le mettre hors service. Il s’est réinitialisé, mais il ne sait plus rien faire… Ah, il a aussi bloqué les portes du bâtiment. Les joueurs-chercheurs ont 45 minutes pour le réactiver en s’aidant d’indices et d’éléments répartis dans la salle.
Cet « escape game », qui se joue à plusieurs, en temps réel, en coopération et dans un vrai laboratoire a été installé en novembre à l’Institut de psychiatrie et de neurosciences de l’université Paris-Descartes.
L’Inserm, le grand institut de recherche médical public français, possède un organoïde de cerveau, une réplication parfaite de l’architecture du cortex humain, totalement fonctionnel. Il sait même verrouiller tout seul les portes de son labo. Seul problème, il est un chouïa sensible aux pannes de courant. L’une d’elles vient temporairement de le mettre hors service. Il s’est réinitialisé, mais il ne sait plus rien faire… Ah, il a aussi bloqué les portes du bâtiment. Les joueurs-chercheurs ont 45 minutes pour le réactiver en s’aidant d’indices et d’éléments répartis dans la salle.
Cet « escape game », qui se joue à plusieurs, en temps réel, en coopération et dans un vrai laboratoire a été installé en novembre à l’Institut de psychiatrie et de neurosciences de l’université Paris-Descartes.
Le scénario fictif (on n’en est qu’au début des recherches sur les organoïdes) est censé se dérouler en 2064, année, qui, ce n’est pas un hasard, marquera le 100e anniversaire de l’Inserm.
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