Stérilité, dépression, cancer… Les partisans de l’interdiction de l’IVG mettent en avant le risque de séquelles à vie, le plus souvent sans fondement.
« J’ai avorté, je pleure tous les soirs et je suis désormais stérile », « mon IVG m’a rendue dépressive », « je refuse d’avorter car je crains le cancer »… les témoignages – anonymes et négatifs – relayés par la page Facebook « IVG : vous hésitez ? Venez en parler » se suivent et se ressemblent. Cette page Facebook tenue par des militants contre l’interruption volontaire de grossesse (IVG), à laquelle nous avions consacré une enquête, propage nombre d’idées reçues et de fausses informations sur l’avortement. Alors quel’Irlande se prononce par référendum, vendredi 25 mai, sur l’abrogation d’un amendement à la Constitution interdisant l’IVG, nous avons recensé les plus répandues de ces idées reçues.
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