- 22 MAI 2018
- PAR OBSERVATOIRE INTERNATIONAL DES PRISONS - SECTION FRANÇAISE
Face à l’incarcération massive de personnes souffrant de troubles psychiatriques, la prison « s’est adaptée sans pouvoir faire face à l’ampleur du phénomène », pouvait-on lire en 2010 dans un rapport parlementaire (1). Huit ans plus tard, l’accès aux soins psychiatriques en détention est toujours inégal et limité. Et à de nombreux égards, le statut de détenu prime sur celui de malade.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire