PAPEETE, 11 mai 2015 - L’association SOS Suicide organise un jeu concours, du 11 au 31 mai, afin d’informer sur l’acte suicidaire et lutter contre les idées reçues au sujet des personnes qui passent à l’acte. Chez les 15-44 ans, le suicide est la 1ere cause de mortalité en Polynésie française.
Les personnes qui parlent de leur intention de se suicider ne le font-elles que pour attirer l’attention ? ; Une personne joviale est-elle vraiment à l’abri du suicide ? : Les idées reçues ne manquent pas lorsqu'on aborde la question du suicide. C’est pour les combattre que l’association SOS Suicide organise, du 11 au 31 mai, un quiz pour attirer l’attention du public sur un phénomène sanitaire auquel la Polynésie n’échappe pas. Le suicide est la première cause de mortalité chez les 15-44 ans, devant les accidents de la route.
> Le quiz : ICI
L'opération vise plus particulièrement les 15-24 ans. "Il s’agit d’éveiller la conscience par rapport à ce problème", explique le docteur Stéphane Amadéo, psychiatre au Centre hospitalier de Taaone et président de l’association SOS Suicide. "Il y a une prévention possible. On peut préparer les gens à être plus attentifs, plus réceptifs, plus sensibles à cette situation. Si jamais ils croisent quelqu’un qui exprime des idées de suicide, ils n’en viendront pas à penser que c’est juste pour attirer l’attention".
Les personnes qui parlent de leur intention de se suicider ne le font-elles que pour attirer l’attention ? ; Une personne joviale est-elle vraiment à l’abri du suicide ? : Les idées reçues ne manquent pas lorsqu'on aborde la question du suicide. C’est pour les combattre que l’association SOS Suicide organise, du 11 au 31 mai, un quiz pour attirer l’attention du public sur un phénomène sanitaire auquel la Polynésie n’échappe pas. Le suicide est la première cause de mortalité chez les 15-44 ans, devant les accidents de la route.
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L'opération vise plus particulièrement les 15-24 ans. "Il s’agit d’éveiller la conscience par rapport à ce problème", explique le docteur Stéphane Amadéo, psychiatre au Centre hospitalier de Taaone et président de l’association SOS Suicide. "Il y a une prévention possible. On peut préparer les gens à être plus attentifs, plus réceptifs, plus sensibles à cette situation. Si jamais ils croisent quelqu’un qui exprime des idées de suicide, ils n’en viendront pas à penser que c’est juste pour attirer l’attention".
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