SUISSE PsychiatrieSignée par plus de quarante psychiatres et psychanalystes, une lettre alarmante fait état de «signes de souffrance institutionnelle».
Un courrier inquiétant vient de parvenir aux membres du Conseil de Fondation de Nant, ainsi qu’à Stéfanie Monod, cheffe du Service vaudois de la santé publique, à Karim Boubaker, médecin cantonal, et à Catherine Roulet, députée et présidente de la Commission de santé publique du Grand Conseil.
Deux pages datées du 9 février, dans lesquelles quarante-deux psychiatres et psychanalystes installés sur l’arc lémanique manifestent leur vive inquiétude face à ce qui se passe à la Fondation de Nant, secteur psychiatrique de l’Est vaudois.
«En moins de deux ans, nous avons assisté au départ relativement abrupt, que ce soit par démission, par licenciement ou même par renvoi immédiat, d’un grand nombre de cadres», écrivent notamment les signataires, qui relèvent des «signes de souffrance institutionnelle» qu’ils qualifient d’indéniables.
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