du lundi au vendredi de 9h06 à 10h
En première partie de la Fabrique de ce jour, entretien avec Delphine Diaz, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Reims Champagne-Ardenne, spécialiste de l’histoire de l’exil et de l’immigration dans la France et l’Europe du XIXe siècle pour son ouvrage «Un asile pour tous les peuples ? Exilés et réfugiés étrangers dans la France du premier XIXe siècle» (éd. Armand Colin).
A l’occasion de la Semaine pour l’emploi des personnes handicapées du 17 au 23 novembre 2014, avec Louis Crocq, professeur associé honoraire à l'Université René Descartes à Paris V, psychiatre au service de santé des armées pour son ouvrage «Les blessés psychiques de la Grande Guerre » (éd. Odile Jacob)
Les blessés psychiques de la Grande Guerre
Au lendemain de l'armistice du 11 novembre 1918, toute la France honora ses morts et glorifia ses héros. Mais, si les blessés physiques furent reconnus, soignés et pensionnés, qu'en fut-il de ceux qui en avaient été «quittes pour la peur» ? Qu'en fut-il de ceux qui s'étaient trouvés ensevelis sous leur abri écrasé par les obus ennemis, qui avaient assisté horrifiés au spectacle de leurs camarades déchiquetés par les shrapnells, qui attendaient de monter à l'assaut alors que, derrière le parapet de la tranchée, ils voyaient ceux qui les devançaient s'écrouler un à un sous les tirs des mitrailleuses allemandes ?
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