Vivre dans un quartier défavorisé n'augmente pas le risque de développer une maladie mentale, souligne une nouvelle étude suédoise, qui met l'accent sur le rôle essentiel que jouent les gènes dans le développement de ce genre de maladie
Plusieurs études antérieures avaient conclu que les personnes vivant dans des zones socialement défavorisées, qui connaissent un taux de criminalité élevé, courent un risque plus élevé de développer une maladie mentale par rapport à ceux qui vivent dans des régions plus aisées.
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