Violences juvéniles urbaines en Europe
Histoire d’une construction sociale
de Xavier De Weirt [2], Xavier Rousseaux [3] (dir.)
Présentation de l’éditeur
De nos jours, dans les villes, la violence des jeunes alarme, inquiète. « Ils sont de plus en plus violents, de plus en plus jeunes », entend-on régulièrement de l’opinion publique. Pourtant, ces commentaires ne reposent sur aucune base scientifique fiable : ils relèvent d’un discours construit depuis près de deux cents ans sur des faits peu représentatifs et des impressions non critiquées.
Jusqu’ici, ville et violence, jeunesse et violence, voire jeunesse et ville étaient analysées de manière séparée ; en revanche, la problématique de la violence des jeunes dans l’espace public urbain n’avait pas donné lieu à des recherches croisées.
Par la confrontation systématique des sources (répressives, discursives) et selon une pluralité d’approches méthodologiques (travail sur archives, enquête orale), les auteurs de ce livre, historiens, criminologues ou sociologues, tentent de cerner l’écart existant entre perception et réalité du phénomène aux différentes périodes de l’histoire.
Sur la base de recherches récentes, ils proposent de mieux comprendre quand, comment et pourquoi s’est construite dans la société européenne cette représentation de la jeunesse comme vecteur de violence associé à la vie urbaine.
Table des matières ici
Histoire d’une construction sociale
de Xavier De Weirt [2], Xavier Rousseaux [3] (dir.)
Présentation de l’éditeur
De nos jours, dans les villes, la violence des jeunes alarme, inquiète. « Ils sont de plus en plus violents, de plus en plus jeunes », entend-on régulièrement de l’opinion publique. Pourtant, ces commentaires ne reposent sur aucune base scientifique fiable : ils relèvent d’un discours construit depuis près de deux cents ans sur des faits peu représentatifs et des impressions non critiquées.
Jusqu’ici, ville et violence, jeunesse et violence, voire jeunesse et ville étaient analysées de manière séparée ; en revanche, la problématique de la violence des jeunes dans l’espace public urbain n’avait pas donné lieu à des recherches croisées.
Par la confrontation systématique des sources (répressives, discursives) et selon une pluralité d’approches méthodologiques (travail sur archives, enquête orale), les auteurs de ce livre, historiens, criminologues ou sociologues, tentent de cerner l’écart existant entre perception et réalité du phénomène aux différentes périodes de l’histoire.
Sur la base de recherches récentes, ils proposent de mieux comprendre quand, comment et pourquoi s’est construite dans la société européenne cette représentation de la jeunesse comme vecteur de violence associé à la vie urbaine.
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