L’association L’Escale, en soutient au pôle psychiatrie, organise un tournoi de tarot ce vendredi à la salle Toussaint Louverture de Pontarlier. Un concours ouvert à tous mais aussi un appel à la tolérance.
L’œuvre de Sébastian, artiste peintre, est en
cours de réalisation. Elle sera offerte au gagnant
du tournoi de tarot vendredi soir. Photo C.D.
Faire évoluer la vision de la psychiatrie dans la société, c’est la règle du jeu que s’est fixé l’association L’Escale. Elle organise pour la dixième et dernière fois, un tournoi de tarot à Pontarlier, Soignants, soignés, joueurs professionnels ou débutants, tout le monde est convié, ce vendredi soir à 20h30, salle Toussaint Louverture du théâtre Blier.
Quand le deuxième cerveau commande le premier… Des neurologues ont démontré pour la première fois que le microbiote intestinal influence nos choix alimentaires. En effet, une étude publiée dans PLOS Biology nous explique que deux espèces de bactéries nous dicteraient ce qu’il est préférable de manger.
Les maisons de retraite ont souvent mauvaise réputation et pour éviter d’y mettre les pieds, certains retraités rivalisent d’imagination. C’est le cas d’un groupe de Lyonnais qui ont lancé un projet de construction pour un habitat écologique et participatif. Un joli projet qui devrait arriver à son terme cet été.
VIVRE ENSEMBLE EN TOUTE LIBERTÉ
En 2009, une vingtaine de retraités ont opté pour une alternative à la maison de retraite en imaginant un lieu adapté au grand âge, permettant de vivre en convivialité dans le plus grand respect de la nature. Leurs valeurs sont celles du partage et de l’accompagnement : le lieu devait permettre la rencontre en restant disponible à tous et offrir à ses habitant la possibilité de continuer de participer à la vie locale. Refusant de lier retraite et isolement, les créateurs du projet ont souhaité bâtir un lieu de vie participatif permettant un respect de la vie privée de ses habitants.
Plus de 70 médecins, psychiatres, pharmaciens et internes au CH de Montfavet, établissement psychiatrique situé à Avignon (Vaucluse) signent à leur tour un appel pour défendre la psychiatrie publique. Après le manifeste des 166 psychiatres et médecins du CH du Vinatier à Bron, près de Lyon (Rhône), en février dernier (lire notre article), qui avait révélé "avec tant de vérité la souffrance de la psychiatrie publique et l'épuisement moral(et parfois physique) du personnel médical et paramédical", le collectif du CH avignonnais souhaite en effet s'associer à cette démarche. "Nous voulons sensibiliser candidats et électeurs à ces réalités de la psychiatrie et de la pédopsychiatrie publiques, absentes des débats citoyens et pourtant massivement sollicitées comme "expertes" dans l’analyse de tout désordre social", écrivent-ils.
La bonne qualité du dialogue médecin/malade suppose l’instauration d’une véritable relation de confiance. La difficulté d’établissement de cette dernière tient entre autres aux présupposés nourris par les praticiens quant à ce que leurs malades veulent et sont capables d’entendre concernant leur pathologie et la prise en charge dont ils doivent faire l’objet. A l’ère d’internet qui a généralisé certains savoirs (avec plus ou moins de pertinence) et de l’affirmation d’une volonté plus déterminée des patients à participer à leurs soins, ces présupposés sont bouleversés. Dans ce cadre et pour aider les jeunes praticiens à mieux répondre au souhait de plus en plus largement exprimé de codécision, des "patients-enseignants" dûment formés font désormais partie prenante de la formation des futurs médecins. S’inspirant d’expériences conduites de longue date dans des pays anglo-saxons, le département universitaire de médecine générale (DUMG) de l’UFR Santé médecine et biologie humaine (SMBG) de Paris 13 (Bobigny) a fait figure de pionnier en la matière.
Lauréat du concours « Droits des usagers de la santé » 2017 - L’ADAPEI de l’Oise (Haut de France)
21.04.17
Ce jeu a pour objectif de faciliter l’appropriation de sa propre identité sexuelle et affective pour une personne en situation de handicap mental et de développer un outil éducatif d’apprentissage proposant un espace pragmatique et adapté, stimulant et permettant d’appréhender l’expression de leurs propres représentations en tant que personnes handicapées mentales.
Oui, c’est une vraie question. Et la réponse nous est apportée par Santé publique France dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de ce mardi 18 avril. D’abord, l’étude nous apprend qu’en France, entre 2010 et 2014, près de 1,7 millions de personnes ont été hospitalisées dans un établissement ayant une activité en psychiatrie pour un trouble dépressif, et près de 447 000 patients ont été pris en charge pour un trouble bipolaire.
En ce qui concerne la dépression (maladie psychique la plus répandue dans l’Hexagone), une région française présente des taux de prise en charge largement au-dessus de la moyenne nationale : il s’agit de la Bretagne. En 2014, la moyenne nationale du taux de prise en charge pour des troubles dépressifs était de 564,8 pour 100 000 personnes, un taux plus élevé chez les femmes (698,3 contre 421,5 chez les hommes). Or, en Bretagne, ce taux est de 890,8 chez les femmes (soit 27,5% de plus qu'au niveau national) et 570,8 chez les hommes (soit 35,4% de plus).
Bretagne et Sud-Ouest en tête
Du côté des troubles bipolaires, la Bretagne reste dans le trio de tête, mais elle se fait dérober les plus hautes marches du podium par le Sud-Ouest (Nouvelle-Aquitaine et Occitanie). Santé publique France indique que ces disparités ne sont pas forcément liées à des variations de prévalence selon les régions mais qu’elles « peuvent être aussi dues à une différence dans l’offre de soins et dans la prise en charge de ces troubles par des établissements de santé ». Ainsi, la Bretagne et le Sud-Ouest font peut-être preuve d’une plus grande efficacité au niveau de la prise en charge de ces troubles, ce qui expliquerait ces chiffres élevés.
Comment l'architecture peut-elle aujourd'hui aider à concilier soin et réinsertion, à répondre aux besoins du patient et garantir ses droits ? Qu'ils soient responsables politiques, chefs d'établissement, cadres de l'administration hospitalière, médecins ou architectes, ils livrent dans cet ouvrage leur expertise afin de comprendre au mieux les principes directeurs de l'architecture en psychiatrie ; où comment faire rimer soins et citoyenneté.
La psychiatrie occupe une place à part dans le système de soins français, comme dans l’imaginaire collectif. Depuis l’avènement des asiles départementaux en 1838, les projets architecturaux sont intimement liés aux approches thérapeutiques et se font l’écho des débats sur la place des malades mentaux dans la société. Comme l'explique Yann Bubien, directeur général du CHU d'Angers, co-directeur de cet ouvrage, l'enjeu est aujourd'hui de concilier le soin et la réinsertion dans la cité, de considérer les besoins de la personne et sa qualité de citoyen à part entière.
En effet, héritiers d’un patrimoine reflétant des pratiques et des conceptions ancrées dans leur temps, les hôpitaux du XXIe siècle se transforment, s’ouvrant aujourd’hui sur la ville et se projetant hors les murs, en privilégiant la liberté d’aller et venir et en préparant la réinsertion sociale des patients. Dans ce contexte, comment l’architecture peut-elle aider à concilier soin et réinsertion, à répondre aux besoins du patient et à garantir sa qualité de citoyen à part entière ? S’il n’existe pas d’architecture spécifique à la psychiatrie, toutes les réalisations contemporaines répondent à des impératifs de fonctionnalité, d’efficience économique, tout en veillant au bien-être des patients et à la qualité de vie au travail. Les grands sites historiques psychiatriques tels que Ville-Evrard à Neuilly-sur-Marne, Le Vinatier à Bron, Sainte-Anne à Paris ou Gérard Marchand à Toulouse sont ici analysés et mis en perspective face aux orientations à la fois thérapeutiques mais aussi - et surtout - sociétales que visent la psychiatrie du nouveau siècle. Il est clair que le développement du secteur psychiatrique a favorisé la diversification et la délocalisation des lieux de prise en charge, permettant de construire un parcours intégré aux patients d'un territoire. La psychiatrie est en effet soumise à une attente forte de désinstitutionnalisation et de développement d'une offre ambulatoire. Le centre hospitalier CESAME, établissement spécialisé du Maine-et-Loire, a ainsi placé au coeur de son plan directeur, l'aménagement de deux nouvelles unités destinées à accueillir en amont de l'hospitalisation et à préparer le retour au domicile en aval de l'hospitalisation. A ce titre, l'unité psychiatrique d'accueil et d'orientation (UPAO) se définit ainsi : un espace suffisamment ouvert pour que le patient ne se sente pas enfermé et suffisamment contenant pour qu'il ne se sente pas esseulé.
Un ouvrage qui permet de penser l'architecture en psychiatrie en mettant l'humain au coeur du projet.
Une association de psychothérapeutes américains met en cause la santé mentale de Donald Trump. Elle organise sa première conférence annuelle à l'université de Yale, jeudi.
Donald Trump à la Maison Blanche en avril 2017.
(NICHOLAS KAMM / AFP)
Le comportement impulsif et l'extrême pauvreté du vocabulaire de Donald Trump avaient déjà défrayé la chronique, dès les primaires américaines. Certains posent désormais ouvertement la question de la santé mentale du président américain même si l'histoire des États-Unis a déjà vu des présidents pour le moins originaux. Des experts reconnus dans le monde entier se réunissent, jeudi 20 avril, à l'université de Yale, dans le Connecticut (États-Unis), pour débattre de la santé mentale et des compétences du président américain.
En février, devant une marée de drapeaux tricolores, Marine Le Pen a dessiné les contours de la France dont elle rêve. « L’Etat que nous voulons sera patriote, a-t-elle proclamé à Nantes. Il ne peut plus, comme il le fait depuis des décennies, agir contre la nation et la République. Chaque fonctionnaire, et notamment la haute fonction publique, devra avoir à cœur l’intérêt national. »
Cette profession de foi quelque peu martiale a fait frémir la ministre de la fonction publique et les syndicats de fonctionnaires : ils craignent qu’en cas de victoire de Marine Le Pen, le Front national (FN) tente de mettre au pas les agents des administrations de l’Etat.
La Morsure des Dieux, sortie ce mercredi 26 avril apparaît comme la dernière réalisation en solitaire de Cheyenne Carron. C’est avec une subtilité extrême que la réalisatrice aborde dans son nouveau drame, la thématique du suicide en milieu agricole. Un sujet qui aujourd’hui, touche du doigt la réalité.
Au bord du gouffre
« Il y a environ 500 suicides recensés par an. » Cheyenne Carron.
Après seize ans de carrière, la signature de Cheyenne Carron est désormais connue de tous : réaliser des drames, qui abordent avec réalité, desthématiques en phase avec la société actuelle. Dans cette dernière réalisation, l’espoir du cinéma français, s’est penché sur un sujet quelque peu polémique mais pourtant bien réel : le suicide en milieu agricole. Ce problème, de plus en plus récurrent de nos jours, trouve ses racines dans le gouffre économique qui, depuis plusieurs années, bouleverse le monde de l’agriculture. De ce drame à la fois politique et social, découle la question du burn-out. La Morsure des Dieux aborde avec sincérité ce sujet, encore trop délaissé par le cinéma français.
« Art et Marges » est un musée bruxellois qui devrait intéresser les nombreux Français de passage dans la capitale de l’Europe ou qui y résident. En effet, la philosophie de ce musée m’est apparue remarquable : c’est celle de tendre la main vers « l’autre », c’est-à-dire celui qui est quelque peu « ghettoïsé » ou fragilisé. Il s’agit, donc, d’une philosophie humaniste en forme d’ouverture fraternelle envers des gens qui ne s’inscrivent pas obligatoirement dans le circuit culturel « classique ».
Ce Musée de l’art brut (312 rue Haute à Bruxelles), propose des expositions temporaires et une collection permanente d’art outsider : « Art en dehors des circuits habituels, avec des créations comme une nécessité vitale pour des personnes fragilisées (mentalement, par exemple) avec une expression originale, ou pour des autodidactes », m’expliqua Sarah Kokot, cheville ouvrière, parmi d’autres, de cette heureuse initiative d’organiser trois expositions temporaires annuellement en plus d’étonnantes collections permanentes.
Prenons l’exemple de Gustave Mesmer (1903-1994). Il fut enfermé – durant des décennies, à vrai dire les deux tiers de son existence -, interné par sa famille car il avait « blasphémé » dans une église. Son rêve était de voler dans les airs et de créer un vélo-volant : « C’était un peu un Léonard de Vinci dans son genre, très créatif, il élaborait même ses propres outils à partir de matériaux de récupération ».
Scénario de politique fiction : Marine Le Pen est élue à l'Élysée le 7 mai. Quelle(s) possibilité(s) restera-t-il à des fonctionnaires, soumis à obéissance, de s'opposer à la mise en œuvre de son projet santé ? Grève, démission ou mise en disponibilité sortent du lot, le droit de retrait beaucoup moins. La question se pose aussi pour les médecins.
LE MONDE| |Par Enora Ollivier (Envoyée spéciale à Toulouse, Haute-Garonne)
Elle porte des lunettes de soleil et une légère veste de cuir noir, assortie à ses cheveux. Elle ne cherche pas, par là, à passer incognito. Nous ne sommes pas dans un polar mais à Toulouse, au milieu d’une journée de février qui affiche un soleil précoce. D’ailleurs, ce serait plutôt tout le contraire, la jeune femme en a plus qu’assez de se sentir ni vue ni entendue.
A 30 ans, Amandine est travailleuse handicapée. Ou du moins a-t-elle été reconnue comme tel. Dans les faits, c’est plus compliqué. Tout commence par ce qu’elle appelle avec pudeur « un accident de vie », en 2013, suivi d’un mois d’hospitalisation. Un diagnostic est posé : la cyclothymie, une forme de maladie bipolaire, une affection qui ne se voit pas mais est invalidante. C’est le début d’une nouvelle vie sous traitement médicamenteux et dans les méandres de l’administration.
Et si l’anxiété, le stress, la pression scolaire étaient des maux moins répandus à l’école qu’il n’y paraît ? Si les élèves français en faisaient une expérience et un récit un peu moins aigus qu’on ne le dit ?
Du rapport sur le « bien-être des élèves » rendu public par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), mercredi 19 avril, ressort un tableau en demi-teinte de notre système éducatif. D’une enquête PISA à l’autre, celui-ci se caractérise pourtant par sa propension à trier les élèves, à exacerber les inégalités. C’est, précisément, de la dernière mouture du Programme international pour le suivi des acquis des élèves à 15 ans (PISA), dont les résultats ont été donnés en décembre 2016, que la matière première de cette enquête est tirée.
Lors de la passation des tests informatisés dans la cinquantaine de pays membres de l’OCDE, en 2015, les adolescents ont été questionnés sur leurs relations avec leurs camarades, leurs enseignants ; la qualité des échanges en famille ; ce qu’ils font – ou ne font pas – de leur temps. Et, nouveauté, incités à « noter leur vie » sur une échelle allant de 0 à 10.
LE MONDE| |Par Deborah Gutermann-Jacquet (Psychanalyste et docteure en histoire)
TRIBUNE. D’aucuns se demandent quand a commencé la dédiabolisation du Front national (FN). Certains répondent que c’est en 2011, date à laquelle Marine Le Pen en a pris les rênes. Puis les signes en forme d’euphémismes n’ont cessé de se multiplier. On l’appela « Marine » tout court, à la manière des nouvelles stars fabriquées par la télé-réalité ou les grands shows de prime time. Leur absence de patronyme venait indiquer qu’elles étaient si proches, presque de la même famille que vous, puisque aucun nom ne venait faire frontière entre vous et elles. Elles étaient comme des orphelines à adopter.
De la même manière que Marine se substitua dans un premier temps à « Le Pen », le signifiant « Front national » fut étouffé sous le Rassemblement Bleu Marine [lancé en 2012, dissous en 2016]. Mais, pour l’électeur, Marine n’est rien sans le signifiant Le Pen, de même que le Rassemblement Bleu Marine ne vaut rien si ce n’est qu’il recouvre avec délicatesse le nom du FN.
Une femme de 61 ans souffrant d’un ulcère de l’estomac se voit prescrire par son médecin généraliste des antibiotiques. La routine. A ceci près que ce traitement va conduire cette patiente à être hospitalisée d’urgence en psychiatrie.
Cinq jours auparavant, Mme H. a débuté un traitement comportant trois antibiotiques pour un ulcère gastroduodénal. Cette lésion de la paroi interne de l’estomac, ou de la première partie de l’intestin appelée duodénum, résulte d’une inflammation chronique due à la bactérie Helicobacter pylori.
Créé par la loi santé le nouveau "système national des données de santé" (SNDS) censé favoriser la recherche et améliorer les politiques publiques ne fait pas l'unanimité. Alors que ce système regroupe depuis début avril le Système national d'information inter-régimes de l'Assurance maladie (Sniiram) et le Programme de médicalisation des systèmes d'information des hôpitaux (PMSI), toutes les fédérations hospitalières ont annoncé mardi leur refus d'adhérer à cet organisme.
#liberezmapilule , c’est sous ce slogan qu’un collectif vient de lancer une campagne pour demander la mise en vente d’une pilule progestative sans ordonnance avant le 8 mars 2018, prochaine Journée internationale des droits des femmes. À l’origine de ce projet un collectif de pharmaciens, le planning familial, des professionnels de santé comme Baptiste Beaulieu, Martin Winckler, Dominique Dupagne ou Jaddo, ou encore des collectifs ou personnalités féministes comme Caroline de Haas ou Clara de Bort. Dans une lettre ouverte adressée aux laboratoires pharmaceutiques ainsi qu’à l’ANSM et l’EMA (Agence européenne du médicament), tout ce monde s’engage car « il est temps désormais que les femmes françaises et européennes disposent des mêmes droits et de la même accessibilité au moyen de contraception de leur choix », souligne la lettre ouverte.
Un patient non francophone qui ne serait pas assisté d'un interprète pour, a minima, se voir notifier clairement ses droits, ne pourra être hospitalisé sous contrainte. C'est ce qui ressort pour l'essentiel d'une décision du tribunal de grande instance (TGI) de Rennes (Ille-et-Vilaine) du 3 mars dernier. Le juge des libertés et de la détention (JLD) a signé uneordonnancede mainlevée en hospitalisation complète d'un patient britannique au CH Guillaume-Régnier à Rennes. Il a en effet constaté que le patient, "du fait de sa non-maîtrise de la langue française et de l'absence d'interprète à ses côtés aux différents stades de la procédure d'hospitalisation sous contrainte, tant dans ses rencontres avec les psychiatres que lors de la notification des décisions le concernant [...], n'a jamais été placé en situation de comprendre sa situation administrative ni de faire valoir ses droits, directement ou pas un tiers mandaté".
Dans le cadre de la loi Vieillissement, le Gouvernement a souhaité redonner un nouveau souffle à l'accueil familial, modalité d'accompagnement des personnes âgées et handicapées assez peu utilisée. La formation des accueillants familiaux est notamment réformée et undécretpublié le 16 avril auJournal officielen dessine les nouveaux contours. Ces nouvelles règles entrent en vigueur au 1er juillet 2017.