Afin de mettre un terme au "casse-tête récurrent" de la communication entre personnes ordinaires et porteurs de trisomie 21, une étude appelle la communauté scientifique à s'approprier la question. Parent pauvre de la recherche, cet axe de travail pourrait en effet jouer directement sur l'élaboration du parcours de vie.
Apporter les clés pour identifier les mécanismes d'apprentissage du langage et maîtriser les modes de communication des porteurs de trisomie 21 sur le terrain. Avec cet objectif en tête, le laboratoire grenoblois Gipsa-lab (pour Grenoble image parole signal automatique) s'est donc lancé dans un travail de recherche appliquée dont les conclusions viennent d'être publiées dans lerapport Communiquons ensemble*. En ressortent les faiblesses de la recherche mais également le manque d'application des conclusions par les professionnels de terrain.